mardi 13 mars 2012

La Ligue des femmes de l’AFDC plaide pour leur représentativité

Prochaines institutions de la RDC
La Ligue des femmes de l’AFDC plaide pour leur représentativité
Les femmes de la Ligue des femmes de l’Alliance des forces démocratiques du Congo (AFDC) de Modeste Bahati Lukwebo, ont profité de la journée internationale de la femme pour donner de la voix au sujet de l’installation de prochaines institutions en République démocratique du Congo (RDC). Témoin de cet événement, Modeste Bahati Lukwebo, président national de l’AFDC.
Dans son discours à cette occasion, Claudine Ndusi, présidente de la Ligue des femmes de l’AFDC a adressé un appel aux instances du part. Elle les a invitées à tenir compte de la représentativité et du rôle de la femme dans les prochaines institutions.
Au cours de cette rencontre qui a réuni l’essentiel de la crème de l’AFDC, et qui s’est tenue dans la salle de fêtes Blessing à Kalamu, les femmes de l’AFDC, par la voix de la présidente Claudine Ndusi, ont réitéré leur volonté d’accompagner le président national du parti, Modeste Bahati Lukwebo, dans toutes ses actions, tout en soutenant le chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange, autorité morale de la Majorité présidentielle, selon Théophile Mugisho Nyunda, secrétaire national chargé de la communication dans la Ligue nationale des jeunes de l’AFDC.
Le président national Modeste Bahati Lukwebo a encouragé les femmes de son parti dans leur engagement dans des actions de grande envergure de développement en faveur de la marche du parti. Il leur a recommandé de multiplier des efforts pour rendre le parti plus efficace et plus compétitif sur le plan politique, tout en leur promettant de faire de son mieux pour qu’elles soient le plus représentatives possible.

19 députés
Le parti cher à Modeste Bahati Lukwebo s’est bien comporté lors des législatives du 28 novembre 2011 couplées à la présidentielle, dont il s’est tirée avec 19 députés, dont 15 pour l’AFDC, 2 indépendants et 2 alliés. Ce qui prouve que l’AFDC reste un grand parti politique, en dépit de son jeune âge. Ces députés ont été élus dans toutes les provinces. Ce qui démontre le caractère véritablement national de l’AFDC. Les deux indépendants de l’AFDC n’ont pas pu trouver de place sur les listes officielles de l’AFDC, mais ils demeurent membres à part entière de ce parti.
Il a profité de cette rencontre pour remercier les membres de son parti pour le travail abattu lors des élections présidentielle et législatives et leur a demandé de multiplier des efforts pour réaliser un bon score aux élections provinciales et sénatoriales.
Selon Théophile Mugisho, dans ses ambitions politiques, l’Alliance des forces démocratiques du Congo entend d’aller plus loin. Son président national entend continuer à servir le pays à tous les niveaux. Il s’en remet, par conséquent, à la volonté du chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange qui peut faire de lui ce qu’il veut.
Son parti le lance aussi dans la course des candidats pressentis Premier ministre en République Démocratique du Congo (RDC). Comme l’un des arguments de l’AFDC est le travail abattu pour la réélection de Joseph Kabila et le nombre de députés aligné par l’AFDC au terme des législatives 2011.

Créé le 6 novembre 2010, avec 170 membres fondateurs, l’AFDC se trouve bien structurée. Outre les Comités exécutifs fédéraux et les structures spécialisées (ligues des femmes, des jeunes et la coordination des ONG), le parti a ouvert à ce jour 12 bureaux de représentation qui abritent les sièges interfédéral et fédéraux, ainsi que plusieurs bureaux territoriaux et/ou communaux à travers les 11 provinces. Sa devise est : « Démocratie, citoyenneté et travail » et son idéologie est la social-démocratie fondée sur la démocratie participative, les droits de l’homme, la justice sociale, le développement durable et l’économie sociale de marché.
L’AFDC s’affirme comme parti démocratique progressiste. Son projet de société s’organise autour des valeurs spirituelles, politiques et citoyennes. Ce parti a pour but, la cohésion sociale, la jouissance des libertés fondamentales, la valorisation du travail, la transformation sur place des ressources naturelles, de la bonne gouvernance et la transformation des conflits en opportunités de construction de la paix.
Kléber Kungu

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire