mardi 10 décembre 2013

Francophonie: « Les treses apotres »



« Les treses apotres »
            Il ya des lecteurs qui restent sceptiques sur les vérités que je m’emploie à mettre quotidiennement sur la place publique à travers la chronique : Francophonie, au secours, le français en péril. Pour particulièrement la simple raison que les fautes sont si monstrueuses qu’ils ont de la peine à croire. Certains pensent que la plupart de ces monstruosités relèvent de mon imagination. Et pourtant, c’est la vérité.
            C’est aussi vrai que j’ai découvert dernièrement ceci : « Les treses apotres », sur la vitre devant d’un bus Mercedes 207. Je ne sais pas si ce serait de cette manière qu’il aurait orthographié le mot « apotre » qu’on orthographie comme ceci ; « apôtre », d’autant plus qu’il l’a écrit tout en capitales (en majuscules).
            Attardons-nous sur le mot « treses ». Qu’est-ce ? Il faut un peu plus de minutes pour découvrir ce que le rédacteur a voulu écrire. Si vous n’avez pas trouvé, je vous aide à y parvenir : c’est l’adjectif numéral cardinal « treize » ! Qui oublie qu’ils étaient « douze » les apôtres de Jésus ?. D’où vient le treizième, pardon tresième ? Dommage !
Kléber Kungu

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