jeudi 4 octobre 2012

La Murepo rétablit la vérité face à des contre-vérités

Face à la campagne de dénigrement contre l’ambassadeur Gata La Murepo rétablit la vérité face à des contre-vérités Le Comité exécutif de la Mutuelle des ressortissants de Popokabaka (Murepo) est monté au créneau pour fustiger le comportement d’une certaine presse de Kinshasa qui a mené une campagne de dénigrement contre l’ambassadeur de la République démocratique du Congo affecté à l’Onu, Gata Mavita. La Murepo se trouve aujourd’hui effaré par l’acharnement de ce média qui est revenu en charge à la mi-septemebre après avoir amorcé sa campagne de dénigrement au mois de juillet en s’adonnant à ce que le Murepo a appelé « ce même exercice malhonnête consistant [...] à porter atteinte à l’honneur et à la dignité de monsieur Gata […] en usant d’amalgames et de contre-vérités flagrants ». Pour la Murepo, l’ambassadeur Gata, dont l’élévation d’esprit et la grandeur d’âme sont si manifestes qu’il a refusé d’ « user de son droit de réponse pour contester les élucubrations grotesques » de ce journal, estimant que, selon cet adage « l’aigle vole tellement haut que la bave du crapaud ne peut l’atteindre ». Mais face à ce qu’elle qualifie de « lynchage politico-médiatique » à l’endroit de l’ambassadeur Gata Mavita, la Murepo a refusé de garder silence. Aussi a-t-elle décidé de répliquer pour montrer que la vindicte de cette presse lèse aussi bien l’ambassadeur lui-même que les ressortissants du territoire de Popokabaka, dont il est originaire, avec les « contre-vérités débitées sur leur territoire. La Murepo a donc tenu, dans sa réplique, à donner la vérité sur le cursus de l’ambassadeur Gata qui reste un cadre irréprochable sur les plans intellectuel, moral et professionnel, contrairement à ce que les contre-vérités distillées par cette presse a répandues de manière délibérée pour salir l’honneur et la crédibilité de cet honnête homme politique qui fait la fierté de la RDC. Après ses études dans les meilleures des écoles de l’époque, celles des pères Jésuites dont le collège saint Paul de Kasongo-Lunda où il va décrocher son diplôme d’Etat, avant de décrocher, des années plus tard, une licence en sciences politiques et administratives, qui a préféré cette faculté au droit où il était auparavant. Mais cela ne veut pas dire que Gata Mavita avait échoué, ce qui l’aurait poussé à changé de faculté. La carrière professionnelle de l’ambassadeur Gata est aussi très élogieuse et flatteuse. Partout où il est passé, du Katanga au Bandundu en passant à l’Equateur, comme cadre territorial et gouverneur, Gata Mavita a laissé de très bonnes impressions à Musumba, chez le grand chef Mwat Yav et à Kambove au Katanga, à Mbandaka et à Kikwit, à l’Equateur et au Bandundu. Au point où tout étourdi qui y passerait pour dire du mal de ce territorial chevronné ne pourrait récolter que de la vindicte populaire. L’Histoire reconnaîtra aussi à Gata Mavita des qualités de négociateur à l’avènement de l’AFDL. Alors maire de la ville à Kikwit, il a pu éviter un bain de sang en convainquant la fameuse DSP de ne pas engager des combats en pleine ville. C’est grâce à cela que l’AFDL l’a rappelé au ministère de l’Intérieur où ses qualités vont exploser et servir au pays. Aussi sera-t-il intégré comme conseiller dans les cabinets de différents ministres qui se sont succédé : Kakudji, Myra Ndjoku, Théophile Mbemba, après avoir conduit la cellule de la décentralisation. Donc, le tribalisme n’a eu aucun effet pour voir Ignace Gata Mavita évoluer avec Théophile Mbemba comme ce journal l’a insinué. Comme ministre à l’Intégration régionale et vice-ministre des Affaires étrangères, il a dû mériter ses postes et cela a obéi à des impératifs de restructuration du Gouvernement et non aux qualités professionnelles propres de ce diplomate. Aujourd’hui, il a plu au Président de la République Joseph Kabila Kabange de le nommer ambassadeur et représentant permanent de la RDC auprès de l’Onu. Pourquoi vous êtes très jaloux d’Ignace Gata au point de lui attribuer, et à l’ancien ministre des Affaires étrangères Thambwe Mwamba le vol de 5 000 passeports? Non content, donc, de voir Gata Mavita voler de fonction en fonction, cette presse continue à lui tirer à boulets rouges pour tenter d’atteindre son honneur, sa crédibilité. Malheureusement, cette presse a de la peine d’atteindre sa cible qu’est l’ambassadeur Gata Mavita. A ce jour, face aux enjeux dus à la guerre d’agression dont la RDC est victime, l’on est en droit de se demander pour quel motif et quels dividendes cette presse continue à attaquer celui que Joseph Kabila a nommé à l’Onu. Nous craignons, qu’en attaquant Ignace Gata, cette presse cherche à atteindre celui qui l’a placé à ce poste très stratégique. A bien lire les attaques contre Gata Mavita, l’on comprend que c’est une cabale menée contre le Kwango, car les noms d’autres fils du Kwango y sont mêlés comme ceux de Mboso Nkodia Puanga et Théophile Mbemba Fundu dans un amalgame de contre-vérités concernant et Kwango. A tout prendre, l’on déduit que les écrits de cette presse sont plus motivés par l’esprit de nuire que de dire la vérité dont les Congolais ont besoin. Une presse aussi confusionniste que pécheur en eaux troubles, cherchant à diviser les Kwangolais en les opposant les uns aux autres. Non, à ce jour, tout Kwango et le reste pour l’ensemble de la République ont besoin de l’unité et la cohésion nationale. Kléber Kungu

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