mercredi 15 mai 2013

Francophonie : « A bouir, à rôtir »

« A bouir, à rôtir » Mon regard fouineur, observateur et bien avisé découvre un jour ces écrits dans un bistrot d’un quartier de Kinshasa : « A bouir, à rôtir ». Une personne peu avisée n’aurait vu que du feu dans cela s’il n’y avait pas eu le verbe « rôtir » qui a pu donner du sens au premier verbe terriblement massacré. Notre « écrivain » a voulu tout simplement dire « à bouillir » : il s’agit bien sûr du poulet dont on distingue deux sortes : à bouillir et à rôtir. Vraiment, il y a lieu de chercher à bien « bouillir » le français dans la tête de bien des Congolais pour qu’il sorte bien cuit ! Autrement… Kléber Kungu

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