mardi 2 avril 2013

Francophonie : « Baygon reste, les insectes disparaissents »

« Baygon reste, les insectes disparaissents » Ceux qui empruntent la route des Poids lourds et qui ont non seulement des yeux bien ouverts, mais aussi l’esprit bien éveillé, remarquent ceci parmi les nombreuses publicités sur les murs longeant cette voie : « Baygon reste, les insectes disparaissents ». Sans doute que le rédacteur du message – l’artiste-peintre bien entendu – a pensé que « disparaissent » est un adjectif qualificatif et que ce serait une faute très grave que de ne pas l’accorder avec le nom auquel il se rapporte : « insectes ». Sinon, comment justifier cette marque plurielle avec un « s » collé à un verbe ? A chacun de répondre. Kléber Kungu

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire