vendredi 30 mai 2014

100 nouveaux bus Transco à Kinshasa



Le gouvernement Matata fidèle à sa promesse

100 nouveaux bus Transco à Kinshasa

* Le cap de 400 bus atteint sur les 500 promis par le gouvernement Matata.

* Une autre commande en vue 350 bus, dont une partie sera destinée en provinces.
            Le gouvernement Matata n’entend pas s’arrêter en si bon chemin dans ses effortsi d’améliorer les conditions de transport des Congolais. Un autre lot de 100 nouveaux bus de la firme Transco est arrivé mercredi 28 mai à Kinshasa en provenance d’Egypte. A ce jour, l’entreprise Transports au Congo (Transco) totalise ainsi quatre cents bus. Ce qui réjouit les bénéficiaires.
            Avec 400 bus déjà à Kinshasa, la population attend que le gouvernement ouvre d’autres lignes pour desservir les autres coins non encore desservis depuis la mise en circulation de ces bus, la réalité est que plus de la moitié des lignes prévues ne sont pas encore opérationnelles. Alors que vingt-huit lignes avaient été promises par le  ministre des Transports et Voies de communication, Justin Kalumba lors de la mise en circulation de tout premiers bus, douze lignes seulement sont desservies par la firme Transco.
            A l’occasion de l’arrivée de 100 nouveaux bus, Justin Kalumba Mwana Ngongo a promis que le gouvernement comptait construire de nouveaux abribus et former d’autres chauffeurs avant de lancer d’autres lignes.

Pour une gestion efficace du charroi automobile
            Pour gérer efficacement tout le charroi automobile déjà disponible, le ministre des Transports et Voies de communication, Justin Kalumba, a promis que la mise en exploitation se ferait de manière progressive et graduelle mais efficace, précisant que des dispositions étaient en train d’être prises, pour prendre en compte l’approche triangulaire du secteur des transports comprenant la voie, l’équipement comme les bus, et le personnel principalement les chauffeurs.
            Justin Kalumba a précisé que la mise en exploitation des lignes obéissait à un certain nombre de critères », notamment l’aménagement des abribus « pour permettre un embarquement responsable et ordonné » et la formation des chauffeurs pour ne pas « laisser un bus d’une valeur aussi importante entre les mains d’un chauffeur non formé ou mal formé ».
            Il y a presqu’une année depuis que la société Transco a vu le jour avec la mise en circulation officielle le 30 juin 2013 du premier bus. Depuis, la population bénéficiaire ne fait qu’applaudir les efforts que le gouvernement Matata déploie dans l’amélioration constante des conditions de mobilité de sa population.

Une autre commande en vue 350 bus
            Le dernier lot de bus commandés par le gouvernement arrivera la semaine prochaine.
Et le gouvernement annonce déjà une autre commande de trois cent cinquante bus dont une partie sera destinée aux provinces. Le but étant de permettre aux passagers de voyager dans des conditions de confort.
            C’est dans ce cadre qu’il a soumis tous les véhicules au contrôle technique. Malheureusement, depuis le déclenchement de cette opération, les transporteurs privés font tout pour chercher des faux-fuyants pour ne pas soumettre leurs véhicules au contrôle technique. Voulant ainsi faire chanter le gouvernement, comme ils en ont toujours l’habitude, pour le pousser à lâcher prise au moment du contrôle des véhicules.
            En effet, les transporteurs privés étant majoritaires dans le secteur du transport en commun à Kinshasa, en particulier, ont toujours brandi cet état des choses pour faire marcher le gouvernement en se comportant comme ils veulent. Les tracasseries administratives et policières ont toujours été dénoncées par les chauffeurs des transports en commun pour justifier le contrôle des documents comme l’assurance, la carte rose, la vignette. Leurs véhicules souvent de seconde main n’offrent pas toujours toutes les garanties de sécurité que doivent requérir tout véhicule commis au transport des personnes.
Kléber Kungu

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