« Préoccupation »
ou « question »
« J’ai deux
préoccupations : la première, que pensez-vous de la révision
constitutionnelle qui divise la Majorité présidentielle ? La seconde,
quels sont les articles visés par cette révision ? » Ce n’est qu’un
exemple que j’ai pris parmi tant d’autres que ceux des confrères qui ont
l’habitude de participer ou assister dans des conférences de presse ou points
de presse ont déjà entendus.
Ma question est celle de savoir
pourquoi les confrères préfèrent utiliser le mot « préoccupation » au
lieu de « question », étant donné que ce qu’ils prennent pour des
préoccupations sont en réalité des questions. Quoiqu’elles constituent, selon
la définition, des soucis, ennui, inquiétude, tourment, tracas… le tout
étant des synonymes.
L’usage
de « préoccupation » va école dans les milieux des journalistes qu’il
est en passe de remplacer le mot « question ». En attendant d’avoir
une réponse satisfaisante, je préfère rester encore collé avec
« question » pour éviter d’avoir beaucoup de préoccupations dans mon
métier.
Kléber Kungu
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