lundi 10 mars 2014

FRANCOPHONIE : « ll est temps que nous mettons …Il est temps que le DCMP s’unit… »



« ll est temps que nous mettons …Il est temps que le DCMP s’unit… »

Bjr. Il est temps que nous mettons …Il est temps que le DCMP s’unit…N’avez-vous pas massacré le français ? Vois d’abord la poutre dans ton œil avant de voir la paille dans celui de l’autre. On dit en bon français : « …que nous mettions…, que le DCMP s’unisse… ». Voir L’Observateur du 10 mars 2014, crise au sein du DCMP.
            C’est le texte d’un texto que nous avons reçu d’un lecteur identifié simplement par son numéro de téléphone 0990446471, en réaction avec les fautes que nous avons commises dans l’article publié en page 12 dans l’édition n° 4312 du lundi 10 mars 2014.
            Notre joie est si grande que nous publions in extenso ce texto qui montre l’intérêt que notre lecteur porte aussi bien au journal qu’à notre chronique : « Francophonie : au secours, le français est en péril ! » qui vient de totaliser 17 mois d’existence.
            Les fautes relevées par notre lecteur sont vraies, comme le sont les corrections proposées. Quoique lui-même soit tombé dans ce qu’il nous a reproché en nous disant ceci : « N’avez-vous pas massacré le français ? Vois d’abord la poutre dans ton œil avant de voir la paille dans celui de l’autre. » Cette phrase passée au peigne fin révèle une faute : le lecteur a commencé avec le pronom « vous » pour terminer avec le pronom « tu ». Voilà l’un de nombreux pièges que cette langue aux multiples subtilités et caprices a l’habitude de tendre à ses utilisateurs.
            En initiant cette chronique, nous avions nullement l’intention de « vouloir chercher à ôter la poutre dans l’œil d’autrui sans ôter au préalable la paille se trouvant dans notre œil ». Nous avons tout simplement voulu aider nos lecteurs – ceux qui ont encore le courage, la volonté de lire – à bien écrire le français, tout en imposant à nous-mêmes une certaine discipline. Nous sommes cependant conscients nous-mêmes de nos faiblesses. Ce qui laisse passer certaines fautes ou erreurs, en dépit de tous les efforts que nous déployons pour les traquer.
            Kléber Kungu

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