« Les treses apotres »
Il ya des
lecteurs qui restent sceptiques sur les vérités que je m’emploie à mettre
quotidiennement sur la place publique à travers la chronique :
Francophonie, au secours, le français en péril. Pour particulièrement la simple
raison que les fautes sont si monstrueuses qu’ils ont de la peine à croire.
Certains pensent que la plupart de ces monstruosités relèvent de mon
imagination. Et pourtant, c’est la vérité.
C’est aussi
vrai que j’ai découvert dernièrement ceci : « Les treses apotres »,
sur la vitre devant d’un bus Mercedes 207. Je ne sais pas si ce serait de cette
manière qu’il aurait orthographié le mot « apotre » qu’on
orthographie comme ceci ; « apôtre », d’autant plus qu’il l’a
écrit tout en capitales (en majuscules).
Attardons-nous
sur le mot « treses ». Qu’est-ce ? Il faut un peu plus de
minutes pour découvrir ce que le rédacteur a voulu écrire. Si vous n’avez pas
trouvé, je vous aide à y parvenir : c’est l’adjectif numéral cardinal
« treize » ! Qui oublie qu’ils étaient « douze » les
apôtres de Jésus ?. D’où vient le treizième, pardon tresième ?
Dommage !
Kléber Kungu
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