jeudi 25 octobre 2012
Francophonie : « Kabila aux aboies »
« Kabila aux aboies »
« Kabila aux aboies ». Des monstruosités de ce genre, j’en vois plusieurs dizaines par jour. Et lorsqu’on lit les yeux bien ouverts, l’esprit bien alerte, on en voit davantage.
Lorsqu’on réfléchit bien, on conclut que c’est bien lui-même le journaliste, dont la plume est très chancelante, qui est aux abois plutôt que Kabila. Car, pour me convaincre du contraire, il faut l’intervention lumineuse de Bernard Cerquiglini, cet éminent linguiste et spécialiste reconnu de la langue française.
Moralité : Monsieur le journaliste, pour ne pas être aux abois, il faut éviter de considérer les autres « aux aboies » !
Kléber Kungu
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